Tout visiteur -curieux des successives métamorphoses de cet étrange "Pire-hominidae"- ne saurait quitter ce site sans s'arrêter sur cette page...
Après l'éclosion d'une Gallera mellonella -au joli mois de Mai- et une suite de changements morphologiques extrêmes, on doit enfin pouvoir faire apparaître Le Franck sous sa forme définitive, d'adulte reproducteur, tel qu'il se doit d'exister dans la classification classique. Les pièces buccales montrent des mandibules réduites et des maxilles assez développées. Ces pièces sont témoins d'importants changements, liés au régime alimentaire de l'individu...-Chez cette espèce, il s'agit d'un type d'appareil buccal broyeur.- Fortement développé, l'oeil -organe photorécepteur situé de part et d'autre de la tête- est simple chez Le Franck et déjà présent à l'état lymphal du spécimen. L'ecdysis: Elle n'a pas obligatoirement lieu après un jeûne, en revanche, une période d'immobilisation s'impose (le Franck manquerait-il d'équilibre ... ou de sommeil?). Il fait donc peau neuve, rejetant négligemment sa cuticule, devenue trop étroite. La libération du Franck nouveau est assez rapide. Le nombre de mues n'est pas fixe... Les exuvies sont généralement déposées et abandonnées à l'endroit même où se trouve le spécimen; heureusement, le Franck vivant en couple, ses carapaces successives sont dûment pliées et remisées, avec amour par sa partenaire. Selon qu'elles soient sous contrôle de l'hormone juvénile ou des glandes de mues, ses ecdysis sont de qualité différentes (de "Petit Bateau" à "Levis Strauss").